à la folie, pas du tout...

1mois de vacances. 4semaines de parenthése. Une liste de choses à faire.

Parce que faire une formation, c'est bien. Mes perspectives d'avenirs sont nettement plus net, plus nombreuses  qu'à l'époque où jétais en fac. La charge de travail est également en conséquence plus importante.

L'organisation en revanche n'est pas forcement meilleur, différente certes...mais pas forcement meilleur.

Aprés un rythme épuisant: du lundi au vendredi non stop, de 8h30 à 18h00, me voila avec un mois de "vacances". et oui, parce que concrétement j'ai quand même une tonne de chose à faire: m'occuper des démarches administratives pour mon stage de deuxiéme année au Canada, ranger mes cours (qui se sont diaboliquement organiser en une grosse pile dans un coin de ma chambre), faire des fiches de synthése (de ces satanés cours) et enfin travailler sur mon dossier de presse qui est à rendre en juin et compte pour mon diplome de fin de formation.

Et eventuellement reprendre un semblant de vie sociale ne serait pas du luxe pour mon équilibre psychologique.

Enfin, voila toute les choses que je suis censée faire et qu'il faudrat bien que j'arrive à faire, à condition que je me prenne en main et que j'arréte mes conneries.  Donc, un seul mot d'ordre: au travail. Je suis mon pire ennemie, il faut que j'arrête mes obssessions, mes crise d'hyperphagie, mes angoisses...au travail fillette!!

     Le plus dur finalement n'est pas de perdre quelqu'un à cause de la distance, à cause des chemins qui se séparent et qui font qu'il devient de plus en plus difficile de se voir, de se construire des souvenirs en commun, d'avoir une vie proche et similaire.

Le plus dur, c'est perdre quelqu'un juste à coté de soi. Le plus dur, c'est quand ce n'est pas le faît que la vie change qui fait que quelqu'un s'éloigne, mais le faît que les gens changent, et pas toujours pour une raison apparente.

Le plus dur c'est quand on perd quelqu'un alors que cette personne est juste à quelques centimétre de sois, et qu'on ne peut rien faire pour la retenir.

               (Parfois),  en revanche je sais ce que je ne veux pas, et je finis toujours insatisfaite.

Parce que dans la vie on se prend au jeux, on commence malgré nous à croire, à réapprendre à rêver. La folie de la vie fait que parfois nos rêves se réalisent. Euphorie éphémére, on savoure cette victoire. Peut importe les événements, plus rien ne nous fait peur.

Et puis ce rêve devient la réalité, les embuches réapparaisent, on trébuche, on doute, se décourage.

Les fantômes du passés reviennent nous hanter.

Comment avancer? comment croire dans un monde sans plus aucune magie?

Solitude pesante, ennuy profond de la vie, angoisse et auto-destruction.

Peut importe, dans la foule, je reprend le masque, la fille souriante au joues rouges, tout va bien...tout ira bien...